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Good night, and good luck







Fort de son association avec Steven Soderbergh, George Clooney produit et réalise son second long-métrage, « good night, and good luck ». A l’instar de son premier coup d’essai, « confessions d’un homme dangereux », George Clooney prouve qu’il sait choisir des sujets intéressants mais confirme qu’il est un piètre réalisateur.

Dans les Etats-Unis des années 50, « good night, and good luck » raconte la croisade d’une bande de journalistes de CBS, menée par Edward R. Murrow, pour faire chuter le sénateur McCarthy et endiguer la « chasse aux sorcières ».

Si le sujet est prenant, il prend une dimension rhétorique indéniable lorsque l’on replace le film par rapport au « patriot act » et à la politique générale de Bush. Néanmoins, si les images d’archive ont une valeur exceptionnelle, l’ambiance ratée, le noir et blanc prétentieux et la platitude de la mise en scène laissent un goût amer.

Excessivement bavard, le film est ennuyeux et semble terriblement long. Sa manière d’idolâtrer le présentateur télé, alors qu’il a seulement fait partie de ceux qui luttaient contre McCarthy, n’est pas très subtile et devient même pénible. La narration se perd en histoires parallèles sans intérêt et centrées autour de personnages secondaires qui n’apportent rien à l’histoire (le mariage secret, les licenciements, etc.).

Heureusement, le film distille une agréable musique qui vient ponctuer les pauses narratives, et propose une reconstitution fidèle. George Clooney fait en outre tourner sa bande de pote qui, s’ils ne bradent pas leur performance, se contente du minimum. Seuls se détachent l’interprète principal, le méconnaissable et saisissant David Strathairn, Ray Wise (le père de Laura Palmer dans Twin Peaks) et Frank Langella. Les autres, George Clooney et Robert Downey Jr. en tête, sont lisses et parfois décevants.

Malgré une durée réduite (1h30), « good night, and good luck » paraît interminable, beaucoup trop dialogué et trop perfectible sur de nombreux points. Une grande déception, malgré un propos très contemporain et une interprétation plutôt juste.

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11:14 PM

RôôooOOooh un "noir et blanc" prétentieux?!?
Pour le reste, je ne suis d'accord en (presque) rien avec toi, sauf pour le cp de chapeau à l'acteur principal, mais cela me hérisse beaucoup moins ;-)
Tsssssssss un "noir et blanc prétentieux"..Ah lalala \(°O°)/  



11:16 PM

'fin, quand même!! (°°)/  



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