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Match Point







La sortie du Woody Allen annuel est attendue chaque année avec impatience par un microcosme pseudo-intello qui se masturbe intellectuellement à l’avance sur le dernier chef-d’œuvre du réalisateur américain. J’avoue, un peu comme tout le monde, j’attends souvent impatiemment la sortie d’un Woody Allen. Plébiscité à Cannes et accompagné de critiques dithyrambiques, ma déception concernant « Match Point » n’en est que plus grande.

Chris Wilton vient d’un milieu modeste, et son recrutement dans un prestigieux club londonien pour donner des leçons particulières de tennis tombe à pic. Il va sympathiser avec la famille Hewett, d’abord avec Tom, puis sa sœur qu’il va séduire. Alors que sa situation sociale change totalement, Chris va faire la connaissance de Nola Rice, la fiancée de Tom. Cette rencontre va compromettre tous ses plans.

D’une durée accablante de 2h05, « Match Point » s’étire de manière interminable. Si son postulat de base par rapport au hasard et sa fin un tantinet amorale sont intéressants, le reste du film n’est qu’une succession de dialogues interminables et d’images d’une platitude terrifiante. Aucune audace donc, dans ce Londres huppé, aucune émotion donc, parmi ces comédiens apathiques. On est très loin du Woody Allen drôle et impertinent, créatif et sexuellement détraqué. On a beaucoup de mal à s’attacher aux personnages et à croire à cette histoire dont la prévisibilité est effarante.

Le casting est particulièrement inégal. Si Jonathan Rhys-Meyers traîne remarquablement bien sa gueule de beau gosse pour jouer les playboys, côté émotion, on est très loin de ce qu’il faudrait. Scarlett Johanson est certes très belle, mais transpire la vanité, la luxure et la vulgarité. Je ne comprends donc toujours pas ce qu’on trouve à cette comédienne. Le reste du casting est plutôt transparent, sauf peut-être Brian Cox et Penelope Wilton qui sont nettement au-dessus du lot.

Histoire peu crédible et prévisible, casting inégal, réalisation sans saveur… une déception donc ! A quand un Woody Allen vraiment drôle et intéressant ? Rendez-vous l’année prochaine…

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