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Katsuhiro Otomo est devenu grâce à « Akira » un réalisateur adulé par une génération entière. Qui n’a pas été marqué par l’ouverture sensationnelle d’« Akira », avec ses percussions, ses motos, et sa violence stylisée ? Qui n’a pas été traumatisé par le message du film, ou par son final époustouflant ? « Steamboy » était donc un événement. Et, même si le dernier long-métrage de Katsuhiro Otomo offre de bonnes choses, il est de très loin inférieur au précédent film du maître.

En 1851, alors que l’Angleterre Victorienne se prépare pour l’Exposition Universelle, Ray reçoit de la part de son grand-père une « steamball », une invention révolutionnaire ultra puissante dont le pouvoir de destruction attire les convoitises.

Si « Steamboy » est très long et très dense, il ne laisse malheureusement pas le temps au spectateur de se reposer. On sature ainsi facilement, et les moments de pure contemplation qu’aurait du distiller le film manquent cruellement. En outre, « Steamboy » traite exactement du même thème qu’« Akira » à savoir les dangers des nouvelles technologies.

Il faut donc faire fi se son ennui pour se délecter des images superbes, de la richesse visuelle de chaque plan, et de la qualité indéniable de l’animation. Il n’en demeure pas moins que « Steamboy » est largement inférieur à « Akira », et un long-métrage plutôt moyen.

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