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Suite du très correct « Mémoire dans la peau », « la mort dans la peau » se déroule deux ans après les événements qui avaient conduits Jason Bourne, ex agent et tueur l’élite de la CIA, à retrouver sa mémoire et déjouer les plans d’une mystérieuse organisation gouvernementale. Dans cette suite, on retrouve Jason Bourne et sa compagne Marie en Inde où ils pensaient être à l’abri d’une quelconque relance. Grave erreur puisqu’un complot cherche en même temps à l’accuser d’un double meurtre qu’il n’a pas commis et à l’assassiner. Ces événements vont le conduire à revisiter son passé et à se venger de ses persécuteurs.

D’une densité remarquable, le long-métrage de Paul Greengrass (remarquable réalisateur de « Bloody Sunday ») ne souffre d’aucun temps mort et distille savamment des rebondissements parfois prévisibles mais bien amenés. Entre bras de fer psychologique et poursuites d’anthologie, le film demeure un ton au-dessus des habituelles productions du genre (fuck James Bond) et absorbe complètement le spectateur. Le tout est renforcé par une mise en scène énergique et pas trop apocalyptique d’habitude omniprésente dans les long-métrages du genre.

« La mort dans la peau » est en outre aidé par un casting honorable, Matt Damon en tête qui campe un agent crédible et pas trop ridicule. Franka Potente fait aussi une apparition pour notre (et surtout mon) plus grand plaisir, et le reste de la distribution colle parfaitement au ton du film (Brian Cox que l’on voit de plus en plus, ainsi que Karl Urban, le Eomer du « Seigneur des Anneaux »).

Même si l’on pouvait attendre mieux du réalisateur de « Bloody Sunday », le dernier long-métrage de Paul Greengrass est tout à fait correct et réalise sa seule ambition de nous divertir. Aidé par un scénario décent et un casting inspiré, « la mort dans la peau » rappelle agréablement qu’une suite peut-être tout aussi bien que les films précédents.

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