<body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar/6893238?origin\x3dhttp://monsieurdarsh.blogspot.com', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe" }); } }); </script>







Inspirés de faits réels, « Open water » est un long-métrage étrange et difficile à cerner. Filmé en DV, hésitant entre télé réalité cruelle et documentaire, il présente une sorte de huit clos à l'opposé des « dents de la mer ». Pourquoi les « dents de la mer » ? Parce que le film raconte l’histoire de Susan et Daniel, oubliés lors d’une plongée sous-marine par l’équipage, et laissés seuls au large dans une eau infestée de requins.

S’il évite brillamment tous les clichés de l’horreur et impose une ambiance glaciale et tendue, « open water » ne brille pas par ses interprètes peu convaincants ni par sa densité. Il ne se passe finalement pas grand-chose pendant le long-métrage, et on n’a que très rarement l’occasion d’avoir peur. L’angoisse est au rendez-vous, mais l’expérience n’est que moyennement convaincante.

« Home | Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »
| Next »

No comment

» Enregistrer un commentaire